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ACTF Guebwiller

Sortie dans les Alpes bernoises

Posted on 20/06/2025

Le jeudi 19 juin étant férié dans le canton de Soleure, un collègue de travail m’avait proposé de partager une sortie à vélo du côté d’Interlaken. Au programme : le col de la Grosse Scheidegg par Grindelwald, puis la descente vers Brienz et retour à Interlaken en longeant le lac de Brienz par le nord, soit un bon 80 km et 1600 m de D+. Petites particularités de la sortie : l’essentiel du dénivelé est concentré dans les 32 premiers kilomètres, avec d’abord la vallée de Grindelwald à remonter puis, depuis Grindelwald, 1000 m de D+ d’un seul tenant en 11 km d’ascension.

Rendez-vous est donc pris à 6h00 du matin, près de Grenchen, pour faire la route ensemble jusqu’à Interlaken. Les prévisions météo sont excellentes, avec un beau soleil, un vent de sud-ouest – donc plutôt de face dans l’ascension de la Grosse Scheidegg, mais sans conséquence vu la vitesse à laquelle nous grimperons 😄, puis favorable pour le retour – et une chaleur de 20°C dès le départ.

A 7h30 la voiture est garée sur le parking de la gare de Wilderswil, juste au sud d’Interlaken. Le temps d’enfiler les chaussures et le casque, de mettre barres énergétiques et autres gels dans les poches du maillot, de procéder à une petite « escale technique » et nous voilà partis pour notre randonnée.

Comme nous devons remonter deux vallées, dès le départ, l’échauffement est d’entrée de jeu intensif. Malgré quelques points de vue magnifiques sur les sommets environnants, nous évoluons dans une vallée sombre et encaissée, ce qui n’est pas le plus intéressant. D’autant plus qu’il faut partager la route avec voitures, bus et camions, qui n’ont pas trop tendance à prêter attention aux cyclistes.

A Zweilütschinen nous bifurquons en direction de Grindelwald, le long de la Lütschine Noire (affluent de l’Aar), toujours sur la route principale et dans un trafic heureusement pas encore trop chargé. Il y a bien la possibilité de prendre, sur certaines portions, une piste à l’écart, mais nous avons des doutes quant à l’état de certaines sections et à leur compatibilité avec les pneus d’un vélo de route.

Passé le petit village de Lütschental commence la première vraie difficulté du jour, avec une portion de 2km entre 6 et 13%. Ça fait tout juste 10km que nous roulons, ce n’est plus de l’échauffement ! Comme si ça ne suffisait pas, nous tombons sur un chantier routier et, bien sûr, le régulateur nous fait signe de nous arrêter en pleine pente à 11%. Une fois le trafic en sens inverse passé, nous repartons. Thierry, mon collègue, n’a pas de pédales automatiques mais, moi, j’en ai, du coup de galère à clipper la cale droite, sans vitesse, dans cette pente. Je finis par me résigner après avoir failli tomber deux fois et je grimpe avec un pied posé en équilibre précaire sur la pédale. Une section de répit à 9% vient me sauver : j’accélère un bon coup afin de prendre de la vitesse, le temps de trouver le bon geste avec la pointe de la cale pour faire pivoter le pédale et clipper. Ça y est, c’est bon, j’ai réussi, je peux affronter les derniers pourcentages avec sérénité ! Encore quelques kilomètres dans cette vallée encaissée, puis le paysage s’éclaircit juste avant Grindelwald. Le paysage est magnifique, avec une vue sur des sommets emblématiques comme l’Eiger (face nord), la Jungfrau ou le Mönch.  Nous faisons un petit arrêt juste avant Grindelwald, pour profiter de ce sublime paysage et donner l’occasion à Thierry de me détailler tous ces sommets, la position des stations de ski des environs et les télécabines qui y mènent. J’en prends plein les yeux, à côté de ça les Vosges passent pour des collines.

Grindelwald, beaucoup d’hôtels, de touristes et, partout, de très jolis chalets. L’occasion pour nous de faire une nouvelle courte halte afin de remplir un bidon d’eau fraîche à une fontaine et de recharger l’organisme  en glucose et fructose (une barre et un gel pour moi, une barre Ovolmatine, en bon Suisse oblige, pour Thierry). Nous repartons maintenant pour le plat de résistance de la sortie, soit l’ascension de la Grosse Scheidegg : 11 km à plus de 9% de moyenne, avec, surtout, les 5 derniers kilomètres tous au-dessus de 10% (!). La première partie est assez plaisante, irrégulière entre des petites sections à fort pourcentage (10-11%) et d’autres moins pentues (8 ou 9%, c’est presque du repos !) qui permettent de mouliner et de soulager les jambes. Toujours ces beaux chalets et cette magnifique vue sur les montagnes environnantes mais, après un dernier petit replat de 3-7%, les chalets commencent à s’espacer et à devenir plus rustiques, signe que nous sortons du village. Il reste 7 km d’ascension, ça va se corser et nous ne verrons plus beaucoup de pourcentages à un chiffre. Le 34×34 sera de rigueur. Un autre problème me taraude l’esprit : les bus postaux. En effet, la route n’est pas très large jusqu’au sommet et, même après la barrière interdisant la circulation des véhicules motorisés, il restera ces bus postaux qui, eux, sont prioritaires et prennent toute la largeur de la route. Autrement dit, il faudra poser pied à terre et les laisser passer, puis repartir dans la pente raide en espérant arriver à rechausser sans tomber. J’ai lu sur internet qu’il passe un bus toutes les 30’ environ, ce qui devrait limiter le nombre d’occasions à deux ou trois. On verra bien en temps voulu, de toutes façons je n’y changerai rien. D’ailleurs, voilà que nous entendons, derrière nous, le klaxon historique et caractéristique des bus postaux. L’engin semble encore assez loin, suffisamment pour nous laisser le temps d’atteindre une zone plus large, en l’occurrence l’entrée d’un chalet, et de poser pied à terre. Le bus passe (en fait ils étaient deux) et nous reprenons notre ascension. Ce coup-ci j’ai le coup de main (ou de pied) et j’arrive à rechausser sans trop de problème. Nous longeons maintenant les parois abruptes du Chrinnenhorn, du Wetterhorn et du Scheideggwetterhorn, dans une nature de plus en plus sauvage mais tellement belle et majestueuse. Quelle bonheur de pouvoir profiter de tout cela sans le bruit des voitures ni leur ballet incessant. Même les cyclistes sont rares, nous en croiserons une grosse dizaine durant toute l’ascension, tous en sens inverses. Seuls le bruit de la légère brise, le tintement des cloches de vaches dans les alpages et leurs beuglement, viennent troubler le calme des hauteurs. La route, maintenant plutôt faite de béton que de bitume, est en bon état et propre, si ce n’est quelques graviers épars à certains endroits et des bouses de vaches un peu partout.

L’aplomb des parois montagneuses cache le soleil et il ne fait plus que 13-14°C. Je referme donc la fermeture éclair du maillot. Un bus s’annonce, cette fois-ci en sens inverse, je pique donc un petit sprint pour trouver une zone propice à un redémarrage pas trop périlleux. J’en profite aussi pour évacuer toute l’eau bue depuis le matin et admirer le paysage. Thierry me détaille les sommets et Grindelwald semble assez lointaine, tout au fond dans la vallée. Nous avons entamé les 5 derniers kilomètres, ceux où les pourcentages auront tous deux chiffres. Les lacets et virages s’enchaînent, ce qui est bien plus motivant que de longues lignes droites sans fin. Je réalise que, dorénavant, il va falloir appuyer en permanence sur les pédales et qu’il n’y aura plus moyen de mouliner ni de soulager les jambes. Heureusement que la petite contracture que j’avais ressentie au mollet droit, avant Grindelwald, a disparu car, si tu te tapes une crampe maintenant, tu es dans une jolie… bouse !

Une barrière à vaches nous oblige à nouveau à poser pieds à terre, le temps de la passer. Elle est faite de deux brins de fibre de verre, posés chacun sur une charnière afin que les bus passent mais, comme ils sont électrifiés, nous ne préférons pas prendre le risque de se prendre une bonne secousse. Les vaches paissent au bord de la route, traversent au gré de leurs envies, il faut donc rester vigilant. Je profite de mon arrêt à la barrière de sortie de zone pour photographier Thierry devant le troupeau. Les hectomètres descendent très doucement sur mon compteur gps mais la solennité des lieux rend l’effort supportable. Le troisième bus est passé et nous ne devrions plus en croiser d’ici au sommet. 3 km… 2 km …. Passage de la zone la plus raide avec un joli enchaînement à 12-13%, puis retour aux 10-11% habituels. Je crois qu’il y a eu un bref passage à 9% mais nous n’avons même pas eu le temps de le sentir. Ça y est, le soleil refait son apparition après que nous ayons passé les parois rocheuses, en même temps que nous commençons à apercevoir la zone du sommet. Je dis à Thierry «  tu la sens bien, la bière bien fraîche ? ». Il rigole et me répond « Oui, mais sans alcool  ! ». Le dernier kilomètre semble interminable mais nous finissons par arriver au sommet du col de la Grosse Scheidegg, à 1962 m d’altitude et après une ascension de 1300m depuis le départ 28 km plus tôt.

Sommet du col. J’avais pris des manches amovibles avec moi, craignant la fraîcheur d’une halte au sommet et celle de la descente, mais il fait super beau et le soleil tape déjà bien. La petite brise est agréable, nous posons nos vélos et allons nous acheter deux bières blanches sans alcool. Nous nous posons à une table et profitons du panorama environnant tout en nous désaltérant. Le nombre de cyclistes présents au sommet, réduit à une petite demi douzaine à notre arrivée, commence tout doucement à grandir. Ils arrivent tous de l’autre côté du col, celui que nous allons descendre. Le temps de prendre connaissance de quelques emails professionnels sur mon natel (c’est le nom suisse du téléphone portable) et d’y répondre, puis nous décidons de repartir, mais pas avant de faire une photo souvenir, avec nos vélos. Un cyclo Suisse, à peine son ascension terminée, s’en charge volontiers. Thierry enfile son coupe-vent, moi je décide de rester sans manche, et nous partons pour 17 km de descente.

Si Thierry et moi avions à peu de choses près le même niveau dans la montée, il m’avait prévenu qu’il n’aime pas les descentes et les fait doucement. Je file donc devant, ce qui me donnera l’occasion de l’attendre quelque part et de le voir venir pour le filmer. Il est de toutes façons impossible de descendre comme un fou, en raison d’un revêtement pas toujours en excellent état, de graviers disséminés, de bouses de vaches et de nombreuses épingles et virages serrés. Rares sont donc les portions droites propices à la recherche de vitesse et, quand tu as une telle section, tu finis par devoir sauter sur les freins avant d’avoir pu vraiment en profiter. Sans compter les innombrables barrières à vaches (les mêmes que dans la montée), pour lesquelles je m’arrête, les ouvre et les tiens pour mon collègue, ce qui me donne l’occasion de le prendre en photo et lui de me filmer dans un enchaînement de virages. Je fais ça jusqu’à ce qu’un autre cycliste, qui descend lui aussi, nous crie « Kein Risiko ! » tout en forçant les deux tiges de fibre de verre électrifiées à relativement bonne allure. Il est gentil lui, je n’ai pas envie de me prendre une bonne secousse dans les … hum ! Mais bon, peut-être que nous sommes tout simplement isolés de terre par nos pneus en caoutchouc. Du coup, j’ai quand même essayé la technique à la barrière suivante, que j’ai passée sans encombre.

La descente se fait dans des paysages un peu moins sauvages que ceux que nous avions traversés en montant, plus verts et fleuris, et tout aussi superbes. Après 6km de descente en ne croisant que des cyclistes, nous atteignons un gros chalet-hôtel mettant fin à la zone sans voitures. Ilreste une bonne dizaine de kilomètres de descente et les voitures vont dorénavant se faire plus nombreuses, surtout celles qui montent. Il faut donc faire bien attention car la route n’est vraiment pas large. Pourvu que je ne rejoigne pas un bus ou que j’entende suffisamment tôt le klaxon de celui qui serait en train de monter ! Les barrières à vaches sont maintenant différentes : il s’agit plutôt de barrière physiques sur une moitié de route et de barres métalliques au sol destinées à empêcher les sabots de vache de s’y poser. Les vaches, d’ailleurs : j’en croise un troupeau qui divague tranquillement en bordure de champs. Je ralentis car un jeune veau avance tranquillement sur la route alors que sa mère est dans l’herbe. Je me méfie, et de l’instinct maternel qui pourrait pousser la mère à protéger son petit en chargeant un intrus, et du petit qui pourrait décider de rejoindre sa mère en me passant juste devant le nez. Ce qu’il fait d’ailleurs mais, comme je roule au pas, attentif, j’arrive à l’éviter. Pendant ce temps Thiery m’a rejoint et je le filme dans ce décor animalier.

Un peu plus loin la route longe une magnifique rivière de montagne, on se croirait dans une maquette. Puis je rejoins un gros SUV noir, dans une zone de lacets. Le conducteur est gentil, il a compris que je vais plus vite que lui alors, dans un double lacet serré, il profite de ce que la visibilité sur ce qui vient en face est bonne pour ralentir et me laisser le doubler par l’extérieur. Puis je rejoindrai un bus postal en train de déposer ou charger des voyageurs. Deux voitures sont arrêtées derrière lui alors que j’arrive. Je freine donc, le temps que le bus redémarre et s’écarte de suite dans une zone large afin de nous laisser tous passer. C’est fou le nombre de cyclistes, hommes et femmes, faisant l’ascension. Ce qui me frappe le plus est que quasiment tous te saluent, soit d’un gentil « Salü », soit d’un petit geste de la main même quand ils sont en plein effort. Chez nous c’est bien plus rare … J’essaye de leur répondre au mieux, mais je dois faire attention, et aux virages, et aux deux voitures devant moi. Celle de devant a tendance à freiner fréquemment pour laisser passer le trafic venant de face ou quand elle n’a pas de visibilité, ce qui m’oblige souvent à freiner pour ne pas rentrer dans le coffre du véhicule qui me précède. Je vais pourtant bien plus vite, surtout dans les portions sinueuses, mais personne ne me laisse passer. Je me fais une petite frayeur quand nous abordons une zone où, à en juger pas le bruit des pneumatiques, le bitume est en train de fondre. Les deux voitures m’obligent à appuyer une énième fois mon freinage, mais je dois aussi doser de peur de glisser sur le magma fondu. Finalement ça passe, mais j’avoue avoir imaginé finir avec un numéro d’immatriculation imprimé sur le front. Je décide donc de finir les derniers hectomètres en prenant plus de distance de sécurité.

Fin de la descente, après 16 km, j’attends Thierry à l’intersection avec les route de vallée qui nous amènera à Meiringen. Le trafic dans la vallée est chargé, les gens doublent un peu n’importe comment et il faut être prudent. Un camping car tente sa chance et se rabat façon queue-de-poisson devant mon collègue. Nous n’aurons pas l’opportunité de le rejoindre à un feu, sinon il aurait pris un bon coup de cale Look sur la carrosserie ! Nous décidons d’entrer dans Meiringen afin de trouver un sandwich. C’est chose finalement faite, avec une bonne bratwurst et un mix pâtes / frites avalés sur la terrasse d’une cafétéria Migros.

Il doit nous rester 35 km, essentiellement plats ou légèrement vallonnés. La circulation est dense dans Meiringen mais, dès que nous sortons de la ville afin de prendre une petite route de vallée interdite aux véhicules à moteurs (sauf pour les résidents), à l’écart des grands axes, nous apprécions à nouveau de pouvoir rouler en toute quiétude. Vallée oblige le vent, qui devait nous être favorable, monte dans l’autre sens et vient jouer les trouble-fête. Je prends donc quelques relais, Thierry aussi. Il a vraiment du mérite car son vélo est plutôt un VTC, avec ses pédales classiques et son guidon plat, ce qu’il fait qu’il roule en position relevée et prend bien le vent. Nous longeons l’aérodrome militaire de Meiringen, traversant même par deux fois les voies qui relient la piste aux montagnes dans lesquelles se trouvent les hangars à avions. (Mal)heureusement les F-18 ne sont pas de sortie aujourd’hui, sinon nous aurions pu les voir de très près.

Après 10km de vent défavorable, nous atteignons l’extrémité du lac de Brienz, que nous longeons pour rentrer dans la ville. Il y a beaucoup de monde, sur la route, sur les trottoirs et sur les bord du lac. Nous nous arrêtons pour refaire le plein d’eau fraîche et pour déguster une bonne glace au bord du lac. Il fait chaud, j’enlèverais bien mes chaussures pour faire trempette, mais c’est un coup à ne plus vouloir repartir. Nous repartons, d’ailleurs. Cette fois-ci nous longerons le lac de Brienz. Il nous reste pas loin de 25 km afin de rejoindre la voiture. La fatigue commence à se faire sentir et, malgré la vue sur le lac et un léger sentiment de fraîcheur amené par l’eau proche, les kilomètres sont interminables. D’autant plus que le profil n’est pas tellement plat, même si les pourcentages sont faibles, mais les jambes sont lourdes et les cuisses dures. Dire que pendant la pause repas à Meiringen, je disais à mon collègue que je repartirais bien faire l’ascension du col de la Grosse Scheidegg dans l’autre sens et redescendre par le chemin inverse ! Avec cette chaleur je l’aurais sûrement regretté.

Nous levons définitivement le pied à l’entrée d’Interlaken et rejoignons tranquillement la voiture quelques kilomètres plus loin.

Bilan de la journée : 81 km, 1520 m de D+ et de superbes images plein la tête. Il y a de fortes chances que nous refassions ce tour, je ne sais pas quand, dans le sens inverse.

3 thoughts on “Sortie dans les Alpes bernoises”

  1. Jean-Luc dit :
    23/06/2025 à 14:35

    çà c’est du récit !… merci et bravo Laurent, on y était carrément …
    par contre dommage quelque part il te manque 38 m (lol…)
    à bientôt.

    Répondre
  2. Christophe Christophe dit :
    25/06/2025 à 11:14

    Super ton récit ainsi que la destination, la montagne c’est dur mais on sent que tu y prends plaisir.
    Bonne route à toi

    Répondre
  3. zimmermann pierre zimmermann pierre dit :
    05/07/2025 à 18:33

    …c’est de la haute montagne avec les particularités suisses…les photos illustrent bien…super!
    nb je confirme tu es en cage de Faraday et donc isolé du sol grâce aux pneus.

    Répondre

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