J’ai l’habitude de m’offrir pour mes étrennes une balade d’au moins 100 kilomètres. Quel que soit le temps, pluie, vent, neige, je pars, après avoir choisi dans mon écurie, où les vieillards coudoient les dernières nouveautés, la monture qui me semble devoir convenir le mieux à l’état des routes. Cette année, j’avais, pour ne pas…